« Les fûts de certains arbres sur la berge étaient noirs d’encre, tranchant si bien sur le blanc de la neige qu’ils dessinaient une sorte de calligraphie orientale ; un langage que Salomé ne comprenait pas, mais qu’elle appréciait, comme on se réjouit des belles sonorités d’une langue inconnue. »
p.182
Les cinq bonheurs de la chauve-souris / Jean-François Chabas. Ecole des loisirs, 2010 (Médium)
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