

Au début, le vent, les fils, les manettes, bleue et rouge. Ensuite, trop de vent, quelques virevoltes et splash. Et les fils qui se cassent (au sens propre). Et les armatures en plastiquent qui se cassent (au sens 2). On le retrouve. On démèle tout. Enfin, on range tout et on va dans la mer tonique. Vagues. Vent. Pluie. Grêle. Grain. Pour finir, on a envoyé une carte postale de nos vacances d'un jour. Surveillez votre boîte à lettres car l'heureux élu, c'est peut-être toi, ou toi. Une fois de plus, Nico ne travaillait pas à la Paillotte. C'est à se demander s'il travaille parfois cet homme-là. Heureusement, la vendeuse de cartes postales travaillait. C'est peut-être pour toi... A bientôt
1 commentaire:
merci monsieur décathlon, j'ai passé de bons moment avec ce cerf volant tribord jusqu'à ce jour fatidique... il s'est totalement disloqué avec les bouts en plastique qui se détachaient et les fils qui se cassaient à tout moment... je le conseille donc aux talibans, on obtient de beaux crashs
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